les 7 nouvelles merveilles du monde

Bienvenue au coeur de la Terre Sainte

 

Vendredi9/10 : Transports locaux jusqu'à MADABA.

 

Encore une fois réveil matinal à 5h15 du matin. En effet, on doit prendre le bus de 6 heures en direction de Madaba plus au nord, à 30 minutes d'Amman, la Capitale. On sort de l'hôtel à 5h50. La rue, tant animée le soir, est déserte ; même les chats semblent dormir. On fait la course avec nos gros sacs jusqu'au distributeur automatique mais celui-ci ne fonctionne pas. Un type étrange dans un pick-up blanc nous demande si nous avons besoin de quelque chose, nous faisons d'abord mine de ne pas l'avoir vu, il insiste nous lui disons que non. Du coup nous n'avons pas pu retirer, nous espèrons que les quelques dinars restants vont suffire à payer les tickets de bus. On court jusqu'à la station de bus, plus tard on se rendra compte que durant cette course Nuno a perdu son fétiche bandana kaki, sacrilège ! Nous passons devant la Mosquée, et croisons quelques fidèles qui s'y précipitent en courant, ils sont en retard ; à l'entrée ils balancent leurs claquettes et entrent discrètement dans la Mosquée ( nous sommes vendredi, journée de culte pour les musulmans).

 

Une fois à la gare, aussi déserte qu'obscure, toujours pas un chat. Au loin, on aperçoit le même pick-up blanc avec le type étrange, il se dirige lentement vers nous, puis nous demande où nous voulons aller et si nous avons besoin d'un taxi. Nous lui répondons que nous attendons le bus pour Amman. Il nous dit que c'est vendredi et que les bus ne passent pas avant 9h du matin. On trouve ça suspect, mais en effet personne n'est à la gare ce matin, c'est anormal.  Le type nous propose de nous emmener jusqu'à une autre ville d'où l'on pourrait prendre un bus direct pour Amman. On lui pose des questions : à combien de temps est cette ville, combien de kilomètres…Il devient confus, il dit d'abord une heure pour 8 km ???face à notre réaction il dit ensuite..euh non une demie heure…On ne le sent pas, on lui dit qu'on va se débrouiller, il insiste, nous refusons prétextant que nous avons rendez-vous à la gare avec d'autres personnes pour une excursion ; il nous souhaite un bon voyage en nous lançant leur éternel « enjoy your trip » et s'en va aussi lentement qu'il est arrivé.

 

6h10 un minibus arrive, c'est le notre, nous sommes soulagés. Nous montons à bord, nous demandons le prix car nous n'avons que 9 dinars sur nous, après hésitation et quelques rigolades avec ses amis passagers ( ils se connaissaient tous), le chauffeur nous demande 10 dinars pour deux, alors que le petit monsieur du restaurant de la veille nous avait annoncé 4 dinars par personne. Nous lui expliquons, il dit que chacun de nos gros sacs occupent la place d'un passager…( dans ce cas nous aurions du payer le double !). Nous lui disons que nous prendrons nos sacs sur nos genoux( ce qui aurait été impossible pendant 3heures !), il accepte de nous faire payer 4 dinars par personne, et nous aide finalement à ranger nos sacs dans le couloir pour ne pas trop gêner les autres passagers.

On pense partir, on fait le tour de la ville en klaxonnant ( les jordaniens klaxonnent pour un tout et pour un rien, pour dire bonjour, pour forcer la priorité, pour doubler, quand ils voient un piéton…). c'est parti ! hé bien non… on revient étrangement à la station et on attend 50 minutes dans le bus, où un nouveau passager arrive toutes les 10 minutes. Nous comprenons que le tour de la ville en klaxonnant avait pour but d'informer les villageois de l'arrivée du bus. 7 heures, le minibus est plein, nous partons.

Sur la route, il conduit aussi vite que tous ses compatriotes, et roule au milieu des voies non tracées. Petite goutte de sueur froide, la porte s'ouvre en roulant, et le sac de nuno était juste en face, il n'a pas basculé car nous l'avions attaché. Ouf ! Au bout d'une heure et demie de route, nous faisons une pause, nous en profitons pour prendre notre petit-déjeuner. On repart ; quelques kilomètres plus loin on s'arrête à nouveau : contrôle de police. Tout semble être en règle, nous repartons.

Un gentil passager à notre droite nous dit de descendre avant l'entrée d'Amman, de traverser la nationale et de prendre de l'autre côté de la voie un bus direct pour Madaba pour gagner du temps et de l'argent : le prix du ticket de bus sera de 1 JD pour deux.

 

Lachés sur la nationale nous traversons donc la route entre deux passages de camions, et nous nous adressons à la police en train de faire des contrôles de vitesses au radar. Les policiers très sympathiques, comme à chaque fois que nous leur avons posé des questions en Jordanie, nous disent d'attendre le bus devant eux. Un minibus arrive à toute vitesse, le policier l'arrête, et demande au chauffeur d'ouvrir ses portes pour nous laisser monter. Le chauffeur, qui croyait être arrêté pour excès de vitesse, fait la tête quand il comprend qu'on l'a arrêté pour nous. Nous montons à bord, un monsieur change gentiment de place pour que nous ayons deux sièges côte à côte. Le contrôleur, un enfant d'une dizaine d'année nous demande 1 JD pour 2, comme on nous l'avait indiqué. 1 JD c'est pile poil ce qui nous restait. A nouveau, nous nous rendons compte de l'écart entre notre civilisation occidentale et la leur.

C'est l'enfant qui annonce chaque arrêt et qui réceptionne les paiements. Voilà son école, l'école de la vie au milieu des adultes. Jules Ferry s'en retournerait dans sa tombe. Nous avons en France une chance inouïe d'avoir accès aux écoles et à l'enseignement gratuit. Alors pour tous les moments où nous avons été grincheux d'être obligés d'aller à l'école, d'apprendre nos leçons et de faire nos devoirs…rappelons nous que nous avons été des privilégiés !

Dany, petit David, Nelson, et petit Nuno, mes chers cousins adorés, rendez-vous compte de la chance que vous avez, alors travaillez dur à l'école, apprenez bien vos leçons et profitez des joies de l'enfance avec tous vos camarades de classe. Car beaucoup d'autres enfants comme vous rêveraient d'être à votre place…Portai-vos bem. Um abraço !

Arrivés à Madaba, un taxi nous aborde à la station de bus, il veut nous emmener à un hôtel, nous refusons car nous voulons y aller à pied. Sympathique (nous croyions) il nous indique la direction d'un hôtel bon marché. Nous marchons, 20 minutes sous un soleil de plomb avec nos sacs qui nous font sentir la force de la gravité terrestre, toujours rien, on arrive à la fin de la ville devant une église où un bus vient de déposer une cinquantaine de touristes. Nous les suivons dans l'église, le garde nous propose d'entrer au frais visiter une des plus grandes et anciennes mosaïques au monde et de nous donner des explications. Nous entrons donc dans l'église, et il nous demande 2 JD par personne !!! nous refusons, et partons. Il nous indique la direction des hôtels à l'opposé d'où nous sommes : nous devons retourner vers où nous étions. Le taxi nous avait donc indiqué une fausse direction, est-ce parce que nous avons refusé de monter avec lui ?

Au bout d'une heure de galère, nous trouvons le LuLu hôtel. Après une dure négociation, nous obtenons une chambre double dans ce bed and breakfast, pour 27 JD pour deux les deux nuits. ( un très bon prix pour Madaba). Une fois nos affaires posées dans la chambre, nous partons explorer la ville. L'hôtel est propre, il est classé 1 étoile! Il dispose d'un agréable et vaste salon à la décoration locale.

 

 

« Achète moi une banane, je t'offrirai une carotte »

En nous promenant, nous passons devant des marchands de fruits et légumes. Nous achetons deux bananes, le commerçant, qui maîtrise une demi douzaine de langues, nous offre une carotte chacun. Plus tard nous nous rendrons compte que le prix des carottes était inclus dans le montant payé…

Nous continuons notre ballade dans la ville qui est assez glauque. Madaba donne l'impression d'une ville abandonnée, un faux décor d'un ghetto de cinéma, les routes ne sont pas finies mais semblent en suspend depuis des années, des ordures traînent par terre, mais pas de chats en vue contrairement à Wadi Musa…

 

Madaba, au cœur de la Terre Sainte, est la ville des Mosaïques ; pour 2 JD vous pourrez visiter 3 sites dans la ville : le musée des mosaïques, la magnifique église orthodoxe de Saint George, et l'église de la Vierge Marie. Dans la ville on observe un contraste étonnant dans le look des femmes: dans le quartier populaire proche de la gare les femmes sont toutes voilées, alors qu'au centre-ville plus touristique elle sont plus occidentalisées, limite fashion, limite.

Nous faisons des courses, nous faisons encore arnaqués car les prix ne sont toujours pas indiqués. Nous faisons une pause déjeuner devant le visitor center, sorte d'office de tourisme où les informations sont données par des policiers touristiques. Nous sympathisons avec l'un d'eux qui  nous raconte l'histoire de son ancien collègue qui est tombé amoureux d'une touriste française avec laquelle il s'est marié et est parti vivre en France.

L'après-midi, nous découvrons un supermarché à la pointe de la techonologie : les prix sont affichés et le caissier a un bipeur magnétique ! On se rend alors compte qu'on a payé deux fois le prix normal dans les précédents magasins…En face, une super boulangerie internationale avec une multitude de pâtisseries et viennoiseries de tous les pays. Carole avait limite envie d'en acheter, juste limite car nous n'en prendrons pas. Nous regrettons, nous y retournerons sans doute…

Soirée tranquille dans le salon confortable de l'hôtel, nous dinons et mettons à jour carnet de voyage.

 

Samedi 10 octobre 2009 : Nous n'irons pas à Jérusalem, mais visiterons tout de même la Terre Sainte.

Après un petit-déjeuner royal avec lait, café, pain frais grillé et confiture, nous profitons d'une connexion wifi gratuite pour vérifier nos comptes bancaires et faire un tour sur le site du Ministère des Affaires Etrangères français. Sur le site il est déconseillé aux touristes français de se rendre à Jérusalem ces jours-ci en raison d'une recrudescence actuelle de l'éternelle tension entre Israël et Palestine. Des touristes français ont été victimes de jets de pierre…et dans les journaux locaux, nous avons lu un article qui manifestait le soutien du roi jordanien au peuple palestinien, mettant en garde Israël et la communauté juive. Afin de ne pas prendre de risques inutiles, nous préférons changer de programme à notre grande tristesse. Jérusalem : à une prochaine fois !

 

«  Si vous n'allez pas au taxi, le taxi viendra à vous »

Nous partons donc en quête d'un taxi pour une journée découverte de la Vallée du Jourdain, région à grande portée religieuse. Pour trouver un taxi bon marché nous optons pour la tactique conseillée par le gérant du Lulu Hôtel : ne pas se diriger vers les taxis, mais vous promener avec une carte ou un guide à la main et attendre que les taxis viennent à vous et vous proposent leurs services, puis négocier ensuite le prix. Là vous serez en position de force, le taxi propose d'abord un prix exorbitant, vous rigolez et partez. Il vous rappelle, baisse le prix, vous recassez le prix et repartez en lisant votre guide. Il vous suit et vous vous mettez d'accord sur l'itinéraire et le prix.

Ainsi nous sommes passés d'un prix annoncé de 55 JD, à un prix de 20 JD pour une ballade de 6 heures en Taxi pour visiter le Mont Nébo, Béthanie et la Mer Morte. Nous montons donc dans le taxi de Jawad (tél : 0796130560), un jordanien fort sympathique mais qui ne parle pas l'anglais, ça promet ! On ne se comprend pas et on s'arrête au bout de 100 mètres pour trouver un interprète et confirmer le prix et l'itinéraire. Nous nous arrêterons ainsi à chaque fois que nous aurons besoin de communiquer.

Petit à petit, nous nous comprenons avec des signes et gestes. Jawad conduit encore plus vite que les autres et ne met sa ceinture que dans les endroits où se trouve la police ; endroits qu'il connaît par cœur.

Nous passons plusieurs contrôles militaires avant d'arriver à la Mer Morte et en Béthanie:  ils regardent nos têtes, Jawad leur dit que nous sommes d'origine portugaise, et les militaires ne nous demandent finalement pas nos passeports. Soulagement, car nous n'avions sur nous que des copies de nos passeports français.

 

Première pause au Mont Nebo, important lieu de pèlerinage pour les catholiques, où Moïse est venu mourir à l'âge de 120 ans après avoir traversé le désert et gravi la montagne. Du Mont Nebo, vous avez une vue panoramique sur le chemin traversé par Jésus avant d'être crucifié, sur la mer morte, la vallée du Jourdain, Jéricho et Jérusalem.

 

Ensuite nous nous rendons à Béthanie, où Jawad nous convie sur sa couverture en plastique pour attendre à l'ombre, qu'un minibus vienne nous chercher pour visiter le site.

Béthanie est un lieu saint pour la religion chrétienne, où Jésus a été baptisé par Jean-Baptiste, et où le prophète Elie est monté aux cieux. ( pour plus d'infos sur ce lieu cf. le site : http://www.interbible.org/interBible/decouverte/archeologie/2001/arc_010316.htm ).

Nous visitons le site, recueillons quelques instants dans ce lieu sacré. Nous constatons la triste sécheresse du fleuve. Il n'y a plus d'eau à l'endroit où Jésus a été baptisé mais cela n'enlève rien à l'importance de ce lieu culte. Des marches de marbre mènent aux vestiges de l'Eglise de Jean Baptiste le Baptiseur. « dès que Jésus eut été baptisé, il remonta de l'eau. A cet instant, le ciel s'ouvrit, il vit l'esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et une voix venue du ciel dit : celui-ci est mon Fils, que j'aime et qui a toute ma faveur » ( MATTHIEU, 3, 16-17)

 

Nous visitons ensuite une magnifique église grecque-orthodoxe et escortés de militaires jordaniens, nous descendons jusqu'au fleuve Jourdain, frontière naturelle entre Israël et Jordanie. De l'autre côté du fleuve, deux soldats israëliens mènent la garde, armés jusqu'aux dents, pour éviter les passages clandestins.

 

Enfin, nous sommes allés à la Mer Morte, à nouveau nous traversons le désert blanc avec des montagnes arides et des bidons-villes parsemés le long de la route, qui font contraste avec les luxueux hôtels quelques kilomètres plus loin au pied de la mer morte. Nous stationnons devant l'accès à la plage. Il s'agit d'une plage privée payante. Le prix est scandaleux : 12 JD par personne. Nous repartons jusqu'à la prochaine plage, toujours payante mais plus abordable : 7JD par personne ou seulement 3 JD pour les jordaniens. Jawad a beau essayé de négocier pour nous pour que l'on paye le prix local, rien n'y fait, nous devrons payer les 14 JD pour 2. Jawad nous escorte, et nous accompagne sur la plage. Il a l'air de découvrir les lieux en même temps que nous, ses yeux brillent comme ceux d'un enfant, sur son visage un sourire figé.

 

La plage est sale, très sale, des ordures traînent par terre, le sable est terreux, bien loin de l'image paradisiaque que l'on se fait de la Mer Morte. Les locaux se baignent dans la mer tout habillés, carole  hésite à se mettre en maillot de bain : elle est en bikini. Finalement une autre touriste est également en bikini, et Jawad nous fait signe que cela ne pose pas de problème. Nous avançons jusqu'à l'eau, marchons sur la pointe des pieds pour éviter déchets, cailloux ou les tas de sel cristallisé qui font mal aux pieds. Nuno, guidé par Jawad, met son premier pied dans l'eau. Stupeur, il s'enfonce dans la boue jusqu'aux genoux. Il s'énerve et hurle au scandale : on paye pour ça ???

On regarde autour de nous, tout le monde se badigeonne le corps et visage avec cette boue. Ces masques et gommages sont très bons pour la peau, la boue est un mélange de sels et minéraux aux vertus médicinales internationalement reconnues. Certains font des tas de boue pour en apporter chez eux.

 

Finalement, une fois l'étape de la boue passée, nous pénétrons dans l'eau chaude de la Mer Morte. Immédiatement, toutes vos plaies et orifices commencent à vous brûler à cause de la forte quantité de sel dans l'eau. Au bout de quelques minutes d'adaptation, vous savourez et vous essayez de nager un peu pour vous dégourdir. Miracle : vous flottez littéralement, une sensation très étrange, vous avez l'impression d'être une authentique bouée, impossible d'aller au fond. Vous nagez limite au dessus de l'eau, avec les fesses en dehors. Nous ferons même une expérience inouïe : nous arrivons à faire des abdos dans l'eau tout en flottant !

 

Après cette baignade, nous testons comme tous les autres, le fameux gommage de boue. D'abord hésitants, nous imitons Jawad, et nous nous recouvrons le corps et le visage de cette pâte grise et chaude.

 

Jawad se baigne avec sa tunique, et joue dans l'eau comme un enfant, et demande que nous fassions des photos ensemble. Bien qu'il ne sache pas nager, il s'aventure et se laisse flotter sur le dos jusqu'à là où il n'a plus pied. A un moment il joue un peu trop et son corps se retourne au-dessus de l'eau, il fait un demi-tour sur lui-même et se retrouve sur le ventre, dos vers le ciel. Il pousse un cri de panique, se remet sur le dos et continue de jouer et se laisser porter, plus prêt du bord désormais.

La boue sèche au bout de 10 minutes au soleil, nous nous lavons dans la mer, et prenons une douche à l'eau douce. Nous déjeunons à 17 heures de l'après-midi, proposons à Jawad de nous rejoindre, mais il préfère continuer de se baigner.

Nous assistons au coucher du soleil, puis repartons.

Sur le chemin du retour,  Nuno éternue, Jawad lui tend sa boîte de mouchoirs ( tous les jordaniens ont une boîte de mouchoirs en papier dans leur voiture, sur les tables des restaurants…c'est un produit qui est en vente dans tous les commerces). C'était le dernier mouchoir de la boîte, Jawad la balance par la fenêtre et sourit fier de lui. Nous comprenons, pourquoi les bords des routes jordaniennes sont si pollués. Le mouvement écologique, très à la mode en Occident, n'est pas à l'ordre du jour par ici, certainement à cause de la pauvreté locale, du manque d'enseignement et d'information…

Nuno s'endort, Jawad éteint la radio pour ne pas le réveiller. Nous nous arrêtons une dernière fois pour trouver l'ultime interprète pour lui expliquer où il doit nous déposer, et pour qu'il nous propose ses services pour nous emmener à l'aéroport le lendemain pour 8 JD au lieu des 12 JD habituellement appliqués après négociation. Jawad nous dépose devant le lulu hôtel, et  sort pour nous dire au revoir.  Il fera même la bise à Nuno et serrera la main à Carole, ce qui est très rare ici. Il nous a ainsi témoigné son amitié. Même si on ne parle pas la même langue, on s'est compris, et on a bien sympathisé. Encore des bons souvenirs et d'agréables moments de partage.

Soirée classique : dîner et mise à jour du carnet de voyage.

 

Dimanche 11 octobre 2009: Journée Farniente

On se réveille tranquillement à 9 heures pour préparer nos bagages. A 10h30, nous prenons notre dernier petit déjeuner au lulu hôtel. On en profite pour en faire un festin. Nous laissons la chambre vers 11h 45 puis nous demandons s'il est possible de laisser nos affaires dans le salon. Sympathique, le gérant accepte. Nous restons dans le salon afin de mettre à jour le blog.



11/10/2009
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